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Il s'enfonce dans vos bras comme un gamin en manque d'amour, et quelques fois vous inversés les rôles, il vous aspire, il vous respire, et y a cette odeur qui plane dans l'air. Sous le soleil des beaux jours, à l'écoute de l'eau, vous rêvai à des choses grandioses qui jamais ne se réaliseront, mais si putain on y croit les gens ! Vous tournez en rond, mais peu importe puisque vos mains s'entremêlent, vos bras s'entrelacent, et même si vous croisez du monde qui vous connais vous faites mine de rien, parce que enfin de compte vous ne voyez que vous, c'est de l'égoisme pur, de l'égoisme à deux, et le temps file à une vitesse, demain vous vous retrouverai mariée, deux enfants, une belle maison, et le labrador. Alors vous essayez de profiter, encore un peu, y a votre coeur qui balance, qui rythme la cadence. Et juste une dernière fois, vous respirez dans son cou, vous lui carressez les cheveux, et vous touchez ces lèvres du bout des votres. Hélas , au revoir.

*chahinez*